Henri Bonneau

Entrer chez Henri Bonneau, pénétrer dans son chai à Châteauneuf-du-Pape, c’est l’assurance d’un voyage hors du temps. Rencontre presque furtive avec un vigneron mythique. Henri Bonneau, 76 ans, c’est l’un des (le?) pape de Châteauneuf, un personnage légendaire comme on en croise habituellement dans les romans ou dans un film. Lui est là en chair et en os, paysan-vigneron au sourire malicieux, prêt à dégainer cette ironie qu’il manie comme un mousquetaire le fleuret.

Ses vins, produits en petites quantités, sont parmi les plus recherchés de France. Leur taille et leur profondeur, avec leur goût inimitable, en font une véritable œuvre d'art. Le mystère "Bonneau" se cache probablement dans les vignobles sélectionnés, la grande maturité, le naturel authentique ainsi que dans la cave mythique et tortueuse du 17e siècle.

Les vins sont principalement composés de grenache et d'un peu de mourvèdre, de counoise et de vaccarèse. Henri Bonneau ne connaît même pas la proportion exacte des vins. Pour la vinification, l'élevage des vins et le moment de la mise en bouteille, Bonneau se fie à son intuition. Les vins sont élevés pendant deux à quatre ans (voire plus) dans des grands et des petits fûts de bois avant d'être mis en bouteille. Les fûts sont réutilisés pendant plusieurs années. Il existe différents vins d'Henri Bonneau. Le "Châteauneuf-du-Pape standard" est déjà un vin de haut niveau avec une profondeur phénoménale et un grand potentiel de garde. Marie-Beurrier est un hommage à une tante de la femme d'Henri, qui faisait une cuisine inoubliable et raffinée. Le vin séduit par son élégance, sa profondeur et sa fraîcheur ! En tant que "grand vin", Bonneau produit la Réserve des Célestins. Ce vin jouit de la plus haute considération et sa texture à la fois soyeuse et puissante en fait un coureur de fond. Bonneau a produit une cuvée spéciale à partir des millésimes 1990 et 1998. L'alcool, le sucre résiduel et l'extrait sont encore plus prononcés. Henri Bonneau ne décidait souvent que des années après la récolte quelles cuvées il voulait produire. Il n'a jamais fait de compromis sur la qualité et a misé sur le style et la tradition.

Entrer chez Henri Bonneau, pénétrer dans son chai à Châteauneuf-du-Pape, c’est l’assurance d’un voyage hors du temps. Rencontre presque furtive avec un vigneron mythique. Henri Bonneau, 76 ans, c’est l’un des (le?) pape de Châteauneuf, un personnage légendaire comme on en croise habituellement dans les romans ou dans un film. Lui est là en chair et en os, paysan-vigneron au sourire malicieux, prêt à dégainer cette ironie qu’il manie comme un mousquetaire le fleuret.

Ses vins, produits en petites quantités, sont parmi les plus recherchés de France. Leur taille et leur profondeur, avec leur goût inimitable, en font une véritable œuvre d'art. Le mystère "Bonneau" se cache probablement dans les vignobles sélectionnés, la grande maturité, le naturel authentique ainsi que dans la cave mythique et tortueuse du 17e siècle.

Les vins sont principalement composés de grenache et d'un peu de mourvèdre, de counoise et de vaccarèse. Henri Bonneau ne connaît même pas la proportion exacte des vins. Pour la vinification, l'élevage des vins et le moment de la mise en bouteille, Bonneau se fie à son intuition. Les vins sont élevés pendant deux à quatre ans (voire plus) dans des grands et des petits fûts de bois avant d'être mis en bouteille. Les fûts sont réutilisés pendant plusieurs années. Il existe différents vins d'Henri Bonneau. Le "Châteauneuf-du-Pape standard" est déjà un vin de haut niveau avec une profondeur phénoménale et un grand potentiel de garde. Marie-Beurrier est un hommage à une tante de la femme d'Henri, qui faisait une cuisine inoubliable et raffinée. Le vin séduit par son élégance, sa profondeur et sa fraîcheur ! En tant que "grand vin", Bonneau produit la Réserve des Célestins. Ce vin jouit de la plus haute considération et sa texture à la fois soyeuse et puissante en fait un coureur de fond. Bonneau a produit une cuvée spéciale à partir des millésimes 1990 et 1998. L'alcool, le sucre résiduel et l'extrait sont encore plus prononcés. Henri Bonneau ne décidait souvent que des années après la récolte quelles cuvées il voulait produire. Il n'a jamais fait de compromis sur la qualité et a misé sur le style et la tradition.

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